Durant les deux ans de son passage à la rue de Rivoli [1], le Secrétaire d’État va se montrer extrêmement soucieux de l’argent du contribuable. Au point qu’il laissera derrière lui, fait rare, trois budgets en équilibre !

Aux grands fonctionnaires du ministère, qui lui démontrent brillamment qu’un bon budget est un budget en déficit, il oppose tout son bon sens : « Un budget, pour moi, doit équilibrer les recettes et les dépenses. Je suis pour un équilibre budgétaire pur et dur. Tout le reste n’est que belles théories. Mes budgets seront équilibrés, point. »